viernes, 19 de abril de 2013

film "Que la bête meure" Claude Chabrol




QUE LA BÊTE MEURE.
Que la bête meure est un film français réalisé par Claude Chabrol en 1969.
C'est un thriller policier déroulant l'enquête et le désir de vengeance d'un père désespéré et résolu, jusqu'au face-à-face complexe avec le meurtrier.

·         QUI EST LE REALISATEUR?
·         Claude Chabrol.
·         QUI EST LE SCÉNARISTE?
·       Paul Gégauff, Claude .
·         Chabrol, d'après Nicholas .
·         Nicholas Blake, The Beast Must Die.
·         ACTEURS PRINCIPAUX?
·          Michel Duchaussoy, Jean .
·         Yanne, Caroline Cellier.
·         QUEL EST LE PAYS D'ORIGINE?
·          France.
·         Italie.
·         QUELLE EST L'ANNÉE DE SORTIE?
·         1969.
·         C'EST QUEL GENRE DE FILM?
·         Thriller.
·         Drame.
·         Film policier.
·         QUELLE EST LA DURÉE?
·          113 minutes.
·         Sociétés de production
·         France : Les Films de La Boétie.
·         Italie : Rizzoli Films.




UN RÉSUMÉ

Un jeune garçon rentrant d'une partie de pêche est écrasé sur la place d'un village breton2 par un chauffard qui prend la fuite. Charles Thénier, écrivain pour enfants étant veuf, est le père de la victime. Voyant l'échec de l'enquête policière, il se jure de retrouver le meurtrier et de venger son fils.
Le hasard le met sur la piste. Un paysan a vu un couple d'automobiliste nettoyer, près du lieu de l'accident, une voiture similaire à celle du crime. Il a cru reconnaître la passagère : l'actrice Hélène Lanson.
Charles se rend à Paris, où il fait la connaissance de la jeune femme et devient son amant. Elle lui parle de son beau-frère, Paul, garagiste dont elle a été la maîtresse.

ACTEURS PRINCIPAUX





Jean Yanne
Jean Yanne est le nom d'artiste de Jean Gouyé, né le 18 juillet 1933 aux Lilas (Seine-Saint-Denis), mort le 23 mai 2003 à Morsains (Marne), chanteur, humoriste, acteur, auteur, réalisateur, producteur et
compositeur français.
Il est d'une famille d'origine bretonne. Son père est lithographe, puis ébéniste et sa mère couturière chez de grands-couturiers.
Il commence une carrière de journaliste au Dauphiné libéré, puis d'animateur à la radio au début des années 1960. Il se lance également dans la chanson, comme compositeur et chansonnier, dans des émissions comiques avec Jacques Martin, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, notamment un disque de rock sous le nom de Johnny RockFeller et ses RockChild, avec des titres comme J'aime pas le rock, Le rock coco, Saint Rock, en 1961 ; également des parodies comme celles des Élucubrations d'Antoine.



Caroline Cellier
Caroline Cellier est une actrice française, née le 7 août 1945 à Montpellier.
Caroline Cellier est depuis toujours passionnée par la scène et le cinéma. Elle entre aux cours d'art dramatique René Simon en 1963 et fait ses premiers pas sur les planches la même année dans On ne peut jamais dire. En 1964, l'actrice fait ses débuts à la télévision en jouant dans des téléfilms comme La Mégère apprivoisée et Une fille dans la montagne avec Jacques Higelin, mais n'oublie par pour autant son premier amour, le théâtre. En 1964 elle joue dans Croque-Monsieur et Du Vent dans les Branches de Sassafras, pièces pour lesquelles elle obtient les prix Gérard Philipe et Suzanne Bianchetti.
Un an plus tard, le cinéma lui ouvre les bras. Dans La Tête du client de Jacques Poitrenaud, Caroline Cellier donne la réplique à de grands noms du cinéma français : Michel Serrault, Francis Blanche et Jean Poiret





Michel Duchaussoy

Michel Duchaussoy était un acteur de théâtre et de cinéma, né le29 novembre 1938 à Valenciennes (France) et mort à Paris le 13 mars 2012 d'un arrêt cardiaque1.

Études

Il poursuit ses études de lettres à Lille, puis au Conservatoire à Paris.

Le sociétaire de la Comédie-Française

Il entre à la Comédie-Française comme pensionnaire en 1964, en devient sociétaire en 1967 et est nommé sociétaire honoraire lorsqu'il la quitte en 1984. Son répertoire se révèle vite très ouvert et la limpidité de son jeu, pudique et captivant, avec une extrême simplicité de moyens, enveloppe sans effort les personnages qu'il interprète, d'une intériorité poétique et d'un halo de mystère : « On ne saurait imaginer clarté plus diffuse, plus énigmatique, sur un visage humain », écrit de lui Patrick de Rosbo2, ajoutant qu'il est « un comédien à qui il suffit d'un geste imperceptible, du moindre frémissement au coin d'une lèvre, d'un sourcil qui se relève, pour ébranler le sérieux d'un théâtre et l'entraîner vers les sables mouvants de ses caprices. » Michel Duchaussoy a interprété avec autant de talent le rôle-titre de l'Idiot de Dostoïevski, personnage profond et tout en nuances, que le rôle comique d'un personnage de boulevard, comme Camille Chandebise dans La Puce à l'oreille, le vaudeville de Georges Feydeau. Il excellait dans Shakespeare ou Giraudoux autant que dansEugène Labiche. Il avait ce don indéfinissable de doter Clarence dans Richard III ou Dorante dans Le Menteur, de la même pénétration, aussi intemporelle sur fond de mort et de tragédie, que dans l'équivoque désinvolture d'une comédie baroque. Don indéfinissable auquel conviennent seuls peut-être les mots d'état de grâce.

Les débuts de sa carrière cinématographique

Au cinéma, il fut rendu célèbre par Jeu de massacre d'Alain Jessua. Il a également prêté sa voix gracieusement à la cinéscénie du Puy du Fou lors de ses débuts. Par la suite, il tourne plusieurs films sous la direction de Claude Chabrol (Que la bête meureLa femme infidèle). On le voit également chez Bertrand TavernierLouis Malle ou Patrice Leconte. En 1972, il a prêté sa voix au célèbre parrainVito Corleone, interprété par Marlon Brando, dans le film Le Parrain de Francis Ford Coppola. Son dernier rôle au cinéma était Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté, dans lequel il incarne Abraracourcix, qui sortira fin 2012.

Carrière télévisuelle[modifier]

En 1977, il tient l'un des rôles principaux de la série Un juge, un flic d'Henri Viard. Il fait d'autres apparitions à la télévision dans Palace(1988), Les Cœurs brûlés (1992), L'Allée du roi (1996), Les Misérables (2000) ou plus récemment Zodiaque.

Vie associative

Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.

Vie familiale

En mai 1970, Michel Duchaussoy a épousé Isabelle De Funès, la nièce de Louis, dont il a divorcé en octobre 1971.

Décoration honorifique[modifier]

Le 19 juillet 2011, Frédéric Mitterrand lui a remis les insignes d’officier de l’ordre national de la Légion d'honneur3.

Filmographie

Cinéma

Courts-métrages[modifier]

Télévision[modifier]

Il apparait également dans des épisodes de MaigretLes Cordier, juge et flicLes Bœuf-carottesFemmes de loi

Théâtre[modifier]

Carrière à la Comédie-Française[modifier]

Prix et récompenses[modifier]




BIOGRAPHIE DE CLAUDE CHABROL
Jeunesse, et affabulations
Fils unique[4],[5] de Madeleine, née Delarbre, et Yves Chabrol[6], il naît malgré les conseils de médecins qui recommandent à sa mère alors enceinte de trois mois d'avorter, les époux Chabrol ayant été trouvés inanimés suite à une asphyxie due à un chauffe-eau défectueux[5],[7]. Il fréquente les salles de cinéma parisiennes depuis l'âge de 4 ans[8]. Son père, pharmacien et résistant (avec Maurice Ripoche et Maurice Nore, il fonde en août 1940 le réseau Ceux de la Libération[9]), envoie l'enfant, durant la Seconde Guerre mondiale, chez sa grand-mère maternelle, à Sardent, dans la Creuse.
Plus tard, devenu célèbre, Claude Chabrol fabulera à propos de certains des évènements survenus durant son séjour de quatre ans à Sardent. En particulier il racontera qu'à l'âge de seulement 11 ans il créa lui-même dans ce village une société civile immobilière, récolta des fonds importants parmi les notables, puis fut projectionniste et programmateur dans la salle de cinéma qu'il improvisa dans un garage désaffecté. En réalité le "Cinéma sardentais" fut créé et animé à partir de 1942 par un ingénieur des Arts et Métiers passionné par le cinéma et ses techniques, Georges Mercier (1910-1975). Pour d'obscures raisons Chabrol a souvent occulté l'existence et le rôle de cet homme inventif. Après un premier récit flatteur dans son autobiographie Et pourtant je tourne[10], l'épisode du Cinéma sardentais a été enjolivé dans l'ouvrage de Wilfrid Alexandre La Traversée des apparences[11]. Par la suite Michel Pascal puis François Guérif recueilleront des récits plus proches de la réalité. Néanmoins, la légende du marmot-cinéaste sera encore reprise (et amplifiée) en 2012 dans un album[12] composé par Michel Pascal[13].
Études et débuts dans le cinéma
De retour à Paris après la Libération, il fait des études de lettres et de droit (au cours desquelles il côtoie Jean-Marie Le Pen) puis, sous l'influence parentale, et sans conviction, des études de pharmacie, qu'il abandonne après avoir quadruplé sa première année. C'est le cinéma qui lui sourit : il entre à la Fox (en 1955) comme attaché de presse[8], tout en agissant comme critique de cinéma dès l'aurore de la Nouvelle Vague française, aux côtés de François Truffaut et Jacques Rivette, ses collègues aux Cahiers du cinéma. De 1953 à 1957[6], dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, le maître du suspense et celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Une autre rencontre est, pour la suite, également déterminante : celle du romancier Paul Gégauff, son futur scénariste, dont l'univers l'éloigne de l'éducation bourgeoise reçue, bien qu'il s'en avoue toujours encore marqué de traces profondes, indélébiles.
Mariage(s)
Il épouse, le 26 juin 1952, la fille d'un haut fonctionnaire et petite fille de banquier, Agnès Marie-Madeleine Goute, qui devient en 1957 une riche héritière (35 millions d'anciens francs), ce qui permet au nouveau cinéaste de financer sa maison de production, AJYM (1956-1961) : un sigle formé des initiales du prénom de son épouse Agnès et de leurs deux fils, Jean-Yves (né en 1954 et futur architecte) et Matthieu(né en 1956 et futur compositeur de sa musique de films). L'entreprise AJYM démarre sur un court métrage de Jacques Rivette, Le Coup du berger (1956), avec Jean-Claude Brialy. Et, dès la fin de 1957, Claude Chabrol tourne avec ce Brialy son premier film, Le Beau Serge à Sardent (dans la Creuse), puis Les Cousins, sortis en 1959, qui deviennent les premiers longs métrages« le manifeste inaugural » — de la Nouvelle Vague.
Il divorce en 1964[6] et convole en secondes noces le 4 décembre 1964 avec l'actrice Stéphane Audran (née Colette Dacheville), qu'il connaît depuis 1958[ et qui est la mère de son troisième fils, Thomas (né en 1963, futur acteur). Avec elle, il poursuit une fructueuse coopération, jusque très au-delà de leur séparation en 1980. Durant cette période, il se fait spécialiste de l'analyse féroce de la bourgeoisie française, dont l'apparent conformisme sert de couvercle à un bouillonnement de vices et de haines. Que ce soit sur le registre de la comédie grinçante ou du polar, souvent de concert avec le romancier scénariste Paul Gégauff, il ne cesse d'en traquer l'hypocrisie, les coups bas et la bêtise, avec une délectation rare et jubilatoire, à laquelle participent activement ses acteurs fétiches : Stéphane Audran, Michel Bouquet, Jean Yanne. Il dresse ainsi le portrait de la France des années 1970 dans La Femme infidèle, Le Boucher, Juste avant la nuit, Les Biches.


Travail fait par Kautar et Ilias 1ºBCS



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